« Je sais bien que ce sera dur de battre Poutine ». Il le reconnaît lui-même, sa candidature à la présidentielle a sans doute peu de chances de déboulonner Vladimir Poutine, à la tête de la Russie depuis 1999 (en tant que président et chef du gouvernement entre 2008 et 2012). Boris Nadejdine a déposé mercredi à la Commission électorale les signatures de plus de 100 000 électeurs le soutenant, un passage obligé pour voir sa candidature validée.